Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Livres de Gaullistes

09/11/2009 17:04

Livres de Gaullistes


A l'occasion du 39ème anniversaire de la disparition du Général De Gaulle, nous entamons un cycle de livres à lire commis par des compagnons du Général et des Gaullistes ayant sans cesse partager avec lui une certaine idée de la France" ! L'occasion de vous constituer une bibliothèque parfaite du Gaullisme.
La fête des fous : Qui a tué la Vème République
de Marie France Garaud
Genre : Essais et Documents  
Thèmes :  Politique  
Date de parution : 11 Mai 2006  
Nombre de pages : 288  
ISBN : 2-259-20259-4
 
Note de l’auteur
Don Juan, orgueilleux séducteur, défie dans l'opéra de Mozart le noble Commandeur. Celui-ci triomphe cependant. Don Juan, foudroyé, disparaît aux enfers. Tout peut alors rentrer dans son ordre. « Elle ne dure jamais longtemps, la fête des fous », chante Masetto. La Ve République a porté en elle un semblable défi, celui de Don Juan-Mitterrand face à de Gaulle. Mais dans notre histoire, c'est Don Juan qui l'emporte finalement sur le Commandeur. Celui qui avait osé lancer : « Le gaullisme n'est qu'une aventure personnelle » a laissé derrière lui, soigneusement choisis, des germes de destruction qui continuent à parfaire son oeuvre au-delà de sa vie. Et se plaçant dans la lignée de son prédécesseur, Jacques Chirac est devenu, consciemment ou non, l'exécuteur testamentaire de celui qui se flattait d'être le « dernier vrai président » de la Ve République. Quelle force mystérieuse a donc conduit l'héritier présomptif de la tradition gaulliste à s'inscrire dans la continuité de François Mitterrand, achevant ainsi le démembrement des structures politiques dont le Général avait doté la France ? Car elle est bien morte, la Ve République , après une longue agonie, et le temps est venu de dresser le constat de décès alors que la fête des fous continue de plus belle... C'est une histoire qui aura duré à peine cinquante ans et dont nous avons déjà oublié les racines. Il se trouve qu'elle est celle de ma génération et que, d'un petit coin de la scène, j'en ai vu se dérouler le fil. 





1989 – 2009 : d’un Mur à l’autre

09/11/2009 16:24

1989 – 2009 : d’un Mur à l’autre


Le 20ème anniversaire de la chute du mur de Berlin occupe toute l’actualité aujourd’hui.
Comment, en effet, ne pas se souvenir de l’immense joie d’il y a 20 ans, du sentiment de voir l’histoire s’accélérer soudain avec la chute de l’empire soviétique ?
L’histoire, ce jour-là, a donné raison à toutes celles et tous ceux qui, pendant des années, avaient lutté contre la dictature. Leur action paraissait vaine, leur isolement semblait définitif… Pourtant, leur résistance patiente et bien souvent silencieuse a ouvert des fissures dans le Rideau de fer, où se sont brusquement engouffrés les peuples au moment de la « glasnost » gorbatchévienne. On a alors beaucoup glosé sur la victoire de l’Ouest sur l’Est, ce qui n’était que partiellement exact : l’implosion du bloc soviétique, plus que la perfection supposée du marché occidental, a d’abord consacré l’épuisement historique d’un système communiste inefficace et contraignant, qui ne croyait d’ailleurs plus en lui-même depuis belle lurette. On ne doit pas oublier, au passage, la grande sagesse de la Russie qui a accepté pacifiquement son reflux d’Europe centrale.
Cependant cet échec du communisme a été vécu comme la victoire totale de l’Occident et du libéralisme, ce qui a produit des effets pervers. L’ultra-capitalisme s’est développé sur les décombres du communisme sans aucun contrepoids. Se croyant invincible, il est allé trop loin.
L’Europe, quant à elle, a cru que d’un coup de baguette magique, il était facile d’absorber les pays de l’Europe Centrale et de l’Est sans vraiment s’en donner les moyens. Pire, incroyable paradoxe, elle n’a pas voulu voir que ce nouveau « Printemps des peuples » démontrait la force et le renouveau d’un sentiment national désormais apaisé, donnant brusquement raison au général de Gaulle qui avait prophétisé vingt ans plus tôt, dans le scepticisme et le sarcasme généralisés : « la Russie boira le communisme comme le buvard l'encre. » Ainsi, la future Union Européenne s’est alors engagée, à marche forcée et à contre-courant de l’histoire, dans une usine à gaz idéologique et bureaucratique, « post-nationale », qui à plusieurs égards n’a pas grand-chose à envier à l’esprit du Politburo…
Parallèlement à l’émergence d’un tout-marché qui se moque de la démocratie comme des frontières, s’est développée une construction européenne étouffante pour des peuples qui ne demandaient qu’à vivre leur vie. Un nouveau Mur, celui de l’argent et d’une bureaucratie antidémocratique, a ainsi pris la relève du Rideau de fer ! Seule l’Allemagne y a vraiment tiré son épingle du jeu, sachant utiliser à bon escient un cadre supranational qui lui est familier. La force de son sentiment national, l’importance des transferts financiers entre l’Ouest et l’Est, sa volonté de privilégier toujours son propre intérêt, lui ont permis de retrouver sa puissance d’antan et lui ont donné un rôle clé dans l’Europe.
La France, de son côté, navigue à vue, se berçant d’illusions sur une Europe qui n’est rien d’autre pour elle qu’un mythe de substitution au projet national et républicain que ses gouvernants abandonnent, l’alibi de sa paresse et de son renoncement. Et dire que l’Elysée tient à organiser des débats sur « l’identité nationale »…
Bien évidemment, la globalisation impose des politiques européennes dans certains cas, multilatérales dans d’autres, dépassant ainsi parfois, lorsque c’est nécessaire, le seul cadre national. Toute la question est de savoir articuler correctement entre eux ces trois échelons pour éviter une nouvelle jungle qui broie les hommes.
Une génération pour constater l’impasse du modèle ultralibéral et supranational hérité de la chute du Mur ! Gageons qu’il en faudra une supplémentaire pour réinventer ce modèle national intelligemment coordonné avec l’Europe et le monde, un modèle apaisé, solidaire et pacifique, où la liberté de chacun servira la liberté de tous. A nous, gaullistes, d’imaginer la France et l’Europe dans 20 ans…
NDA





Très chère OTAN

09/11/2009 16:13

Très chère OTAN


"La politique la plus coûteuse, la plus ruineuse, c'est d'être petit..." affirmait le général de Gaulle. La réincorporation complète de la France dans le commandement militaire intégré de l'OTAN, non contente d'amoindrir l'indépendance nationale, vérifie hélas le propos gaullien...

La lourde facture du retour de la France dans l’OTAN

Le Monde, jeudi 5 novembre 2009
La pleine réintégration de la France dans les structures de commandement de l’OTAN coûtera 650 millions d’euros d’ici à 2015. Ce chiffre, repris mardi 3 novembre par un blog spécialisé sur les questions de défense, "Le Mamouth", a été révélé le 28 octobre par le député socialiste Philippe Nauche lors des auditions - non publiques - de la commission de la défense de l’Assemblée nationale sur le budget 2010.
La source de cette information, a précisé le député, est l’état-major des armées. Sur six années, "entre 2010 et 2015, au moins 650 millions d’euros supplémentaires y seront consacrés. Ce sont des sommes importantes, qui n’avaient pas été inscrites (dans la loi de) programmation (militaire)", a souligné M. Nauche.
Après la décision, annoncée en août 2007 par le président Sarkozy, de réintégrer pleinement l’OTAN, l’heure des comptes est arrivée. Deux officiers généraux français ont rejoint la structure de l’Alliance atlantique. En septembre, le général Stéphane Abrial a pris le commandement suprême allié de la "transformation" (la planification des moyens), à Norfolk, aux Etats-Unis, devenant le premier non-Américain à occuper ce poste. En juillet, le général Philippe Stoltz est arrivé à la tête d’un des commandements opérationnels européens à Lisbonne. Autour d’eux, les effectifs militaires français vont passer de 250 personnes en 2008 à 1 300 en 2012.
Le surcoût relève essentiellement de dépenses salariales : en régime de croisière, il sera de 70 millions d’euros par an pour les indemnités et les frais d’expatriation ; s’ajouteront 30 millions de cotisations supplémentaires versées à l’OTAN. Ce budget s’ajoute à la contribution financière annuelle de la France à l’OTAN (170 millions d’euros).
L’heure n’est pourtant pas à l’augmentation des dépenses. Les budgets de défense des 28 pays de l’Alliance sont à la baisse, sous la pression de la crise économique. De plus, l’OTAN elle-même connaît de sérieuses difficultés financières : son budget 2010 n’est pas bouclé. Les plus gros contributeurs (Etats-Unis, Allemagne, Grande-Bretagne, France, Italie) poussent à un plan d’économies.
Le débat a été ouvert par le secrétaire général de l’OTAN, Anders Fogh Rasmussen, lors d’une réunion des ministres de la défense à Bratislava (Slovaquie), le 23 octobre : "Nous devons faire mieux avec ce que nous dépensons", a-t-il lancé. La capacité de l’Alliance à projeter plus de soldats sur les opérations extérieures est en jeu.
Pour 2010, il manque 60 millions d’euros au budget des opérations militaires, qui dépasse 1 milliard d’euros. Avec l’engagement en Afghanistan, ces dépenses ont plus que triplé depuis trois ans. Manquent aussi 100 millions au budget d’investissement. En principe, plafonné à 640 millions, il a dérapé de 18 % en 2009. Surtout, l’OTAN a engagé pour 10 milliards d’euros de programmes, dont la moitié a déjà fait l’objet d’une décision collective. Or ils ne sont pas financés.
Mais la réforme divise. Estimant leur contribution directe élevée, la France, comme l'Allemagne, à la différence des Etats-Unis ou du Royaume-Uni, voudraient limiter les financements communs, pour "éviter de payer deux fois". Les gros contributeurs souhaiteraient supprimer des structures et dégraisser des états-majors (13 000 militaires au total). "J'ai fait beaucoup d'économies au niveau national, il n'est pas possible de ne pas en faire au niveau international", a fait valoir le ministre français de la défense, Hervé Morin. Mais les contributeurs moyens, comme la Pologne ou la Turquie, veulent au contraire développer les implantations de l'OTAN sur leur territoire.
Début 2010, ces questions viendront percuter de plein fouet la réflexion stratégique engagée par l'OTAN pour redéfinir ses missions dans les années à venir. Dans la préparation du futur "concept stratégique", "il sera vain de proposer des pistes qui ne soient pas soutenues financièrement", a indiqué au Monde le général Abrial. Ce dernier reconnaît que "la période qui vient sera très difficile".
Nathalie Guibert,
 





Commémoration

09/11/2009 12:47

Commémoration


Ce jour marque le 39ème anniversaire de la disparition du plus illustre des fils de la France. Le 9 novembre 1970 à 19H30, en sa résidence de la Boisserie, le Général De Gaulle nous quittait. Nous tenons ici à raviver la mémoire de ce fidèle et zélé serviteur de la France et assurons qu' en nous, ces héritiers, survivra toujours une parti de lui même et que chaque jours qui passeront n'auront raison de cette flamme qu'il nous a insufflé pour que vive toujours une certaine idée de la France. 
 
PW
 





Faut-il avoir honte de l'identité nationale ?

06/11/2009 16:42

Faut-il avoir honte de l'identité nationale ?


Faut-il avoir honte de l'identité nationale ? 

 

Auteur : Daniel Lefeuvre et Michel Renard

Edition : Larousse

Collection : A dire vrai

Edité le : 29/10/2009

Nombre de pages : 189

ISBN : 2035837065

 Mot de l’éditeur 

Entre intégration européenne, problèmes liés à l’immigration et ministère de l’identité, les Français n’en finissent pas de s’interroger sur la question de l’identité nationale.
Les remontées du passé colonial avec toutes les polémiques qui s’en sont suivies, les questionnements sur l’avenir de la France au sein d’une mondialisation de plus en plus présente, le déclin du prestige culturel et de la puissance de notre pays, la montée des communautarismes : autant de phénomènes qui concourent à brouiller les identités et la perception que les Français en ont.
Replaçant ce débat dans le temps plus long de l’histoire, Daniel Lefeuvre et Michel Renard essayent de redéfinir ce qui fait qu’aujourd’hui on est français et posent la question de l’évolution et du devenir de cette identité.

 

Avis de PW 

Une étude passionnante qui remet en cause les outrances d’une certaine nomenklatura qui n’a de cesse de lancer des « fatwas » irréfléchies contre le ciment principale de notre pays : l’identité nationale, loin d’être le mythe qu’ils tendent à faire croire par leurs discours abusifs.






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